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| Anciens = [[place Derrière Saint-Sauveur]], [[place de la Révolution]], [[place de la République (homonyme)|place de la République]], [[place d'Austerlitz]], [[Jacobsplatz]] | | Anciens = [[place Derrière Saint-Sauveur]], [[place de la Révolution]], [[place de la République (homonyme)|place de la République]], [[place d'Austerlitz]], ''[[Jacobsplatz]]'' | ||
}}La '''place Saint Jacques''' est une place centrale de [[Metz]] qui se situe approximativement sur l'ancien croisement historique de la ville romaine, formé par le ''decumanus maximus'' et du ''cardo maximus''. Potentiel ''forum'' galloromain, petite placette entourée de bâtiments religieux ensuite, elle s'est agrandie au fil du temps et forme désormais une place principale du commerce et de la restauration messine. | }}La '''place Saint Jacques''' est une place centrale de [[Metz]] qui se situe approximativement sur l'ancien croisement historique de la ville romaine, formé par le ''decumanus maximus'' et du ''cardo maximus''. Potentiel ''forum'' galloromain, petite placette entourée de bâtiments religieux ensuite, elle s'est agrandie au fil du temps et forme désormais une place principale du commerce et de la restauration messine. | ||
==Histoire== | ==Histoire== | ||
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=== Centre de la cité antique === | |||
Située au croisement du ''decumanus maximus'' et du ''cardo maximus'' sur le plan de ville à l'époque galloromaine, la place semble être construite sur les vestige d'un ancien ''forum''. | |||
=== Une placette entourée de bâtiments religieux === | === Une placette entourée de bâtiments religieux === | ||
Au [[XIe siècle]], la place était plus petite de moitié, ne comprenant que l'actuel côté ouest. Au sud-est on trouvait l'église Saint Sauveur construite au [[IXe siècle]], érigée en [[Collégiale Saint Sauveur]] au [[XIe siècle]] (entre la [[rue du Petit Paris]] et la place), et à côté l'[[église Saint Jacques]], construite dans le premier trimestre du [[XIIe siècle]]. En [[1137]] elle est nommée | Au [[XIe siècle]], la place était plus petite de moitié, ne comprenant que l'actuel côté ouest. Au sud-est on trouvait l'église Saint Sauveur construite au [[IXe siècle]], érigée en [[Collégiale Saint Sauveur]] au [[XIe siècle]] (entre la [[rue du Petit Paris]] et la place), et à côté l'[[église Saint Jacques]], construite dans le premier trimestre du [[XIIe siècle]]. En [[1137]] elle est nommée place Saint Jacques, nom qu'on retrouve en [[1609]] ou [[1698]] <ref name=":4">{{Ouvrage/TEXCartes}}</ref>. Dès lors, c'est le nom de [[place Derrière Saint Sauveur]] qui est retrouvé dans les textes jusqu'en [[1793]] <ref name=":2">{{Ouvrage/WAGDico}}</ref>. | ||
En [[1574]] <ref name=":1">{{Ouvrage/BERMetz}}</ref>, l'église Saint Jacques, utilisée par les chanoines après la démolition de l'église Saint Sauveur en [[1565]], est elle aussi détruite, ce qui permet d'agrandir suffisamment la place pour en faire un lieu de parade militaire. Le cimetière de Saint Jacques est aussi détruit, se trouvant approximativement au centre de la place actuelle. La place est pavée en [[1700]] et devient une place d'armes en [[1730]]. En [[1793]] la place devient alors [[place de la Révolution]] cette année-là. | En [[1574]] <ref name=":1">{{Ouvrage/BERMetz}}</ref>, l'église Saint Jacques, utilisée par les chanoines après la démolition de l'église Saint Sauveur en [[1565]], est elle aussi détruite, ce qui permet d'agrandir suffisamment la place pour en faire un lieu de parade militaire. Le cimetière de Saint Jacques est aussi détruit, se trouvant approximativement au centre de la place actuelle. La place est pavée en [[1700]] et devient une place d'armes en [[1730]]. En [[1793]] la place devient alors [[place de la Révolution]] cette année-là. | ||
=== Des changements après la Révolution === | === Des changements après la Révolution === | ||
Suite à la Révolution, comme tous les odonymes religieux, elle change de nom et devient [[Place de la République (homonyme)| | Suite à la Révolution, comme tous les odonymes religieux, elle change de nom et devient [[Place de la République (homonyme)|place de la République]] en [[1793]] (ou [[1794]] <ref name=":2" />) puis sous Napoléon, [[place d'Austerlitz]] du 18 janvier [[1806]] à [[1815]]. Elle redevient place Saint Jacques par une décision du conseil municipal de [[Joseph de Turmel]] du 1er juillet [[1816]] puis à nouveau place d'Austerlitz le 8 août 1830 par un arrêté municipal de [[Jean-Baptiste Charles Bouchotte]] <ref name=":1" />{{,}}<ref name=":4" /> (ou place de la République en [[1848]] puis place d'Austerlitz en [[1852]] <ref name=":2" />), jusqu'en [[1874]]. Elle devient alors allemande de [[1874]] à [[1918]] (sous le nom germanisé ''[[Jacobsplatz]]'', littéralement place Jacques) et reprend enfin son nom d'origine le 6 octobre [[1919]]. Elle ne changera de nom que durant la Seconde Guerre mondiale pour redevenir ''Jacobsplatz''. | ||
Le 6 octobre [[1775]], un dôme soutenu par 4 colonnes d'ordre corinthien est posé au milieu de la place. Il est démonté à une date inconnue. | Le 6 octobre [[1775]], un dôme soutenu par 4 colonnes d'ordre corinthien est posé au milieu de la place. Il est démonté à une date inconnue. | ||
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==Origine des dénominations== | ==Origine des dénominations== | ||
=== Place Saint | === Place Saint Jacques, ''Jacobzplatz'' === | ||
Jacques, | La place prend le nom de Saint Jacques de [[1137]] à [[1698]] du fait de la présence de l'[[église Saint Jacques]] construite dans le premier trimestre du [[XIIe siècle]]. Après la désacralisation des odonymes lors de la Révolution, elle redevient '''place Saint Jacques''' par une décision du conseil municipal de [[Joseph de Turmel]] du 1er juillet [[1816]] et jusqu'en [[1848]] (ou [[1830]], voir dans notre [[Place Saint Jacques#Histoire|partie Histoire]]) puis dès [[1919]]. Le nom est confirmé lors de la Commission municipale du 6 octobre [[1919]] <ref name=":22" group="Note"><small>Voir les [https://archives.metz.fr/4DCGI/Web_VoirLaNotice/03_06/1Dxzxd69/ILUMP14119 archives des délibérations du conseil municipal en 1919] sur les Archives municipales.</small></ref>. | ||
Sous l'annexion allemande, elle deviendra '''''[[Jacobsplatz]]''''' (soit Place Jacques) de [[1874]] à [[1918]] et de [[1940]] à [[1944]]. | |||
Sous l'annexion allemande, elle deviendra '''''Jacobsplatz''''' (soit Place Jacques) de [[1874]] à [[1918]] et de [[1940]] à [[1944]]. | |||
Jacques, fils de Zébédée, dit Saint Jacques, est l'un des douze apôtres de Jésus dans l'Évangile du Nouveau Testament. Un pèlerinage catholique en direction du tombeau situé à la cathédrale de Saint-Jacques-de-Compostelle en Espagne passe notamment par Metz. | |||
=== Place Derrière Saint Sauveur === | === Place Derrière Saint Sauveur === | ||
De [[1698]] à [[1773]] voire [[1793]] <ref name=":2" />, elle prend le nom (peut-être alternativement avec la place Saint Jacques) de '''place Derrière Saint Sauveur''' | De [[1698]] à [[1773]] voire [[1793]] <ref name=":2" />, elle prend le nom (peut-être alternativement avec la place Saint Jacques) de '''[[place Derrière Saint Sauveur]].''' | ||
Nom du fait de la présence de la [[Collégiale Saint Sauveur]] et de l'église du même nom sur l'emprise de la place actuelle, fondée au [[IXe siècle]]. | |||
=== Place de la Révolution === | === Place de la Révolution === | ||
La place est renommée en '''[[place de la Révolution]]''' en [[1793]]. | |||
Lors de la Révolution, les noms et influences religieuses sont supprimés de la ville. Son nom met à l'honneur la chute de la monarchie un an plus tôt. | |||
=== Place de la République === | === Place de la République === | ||
La place change à nouveau de nom et devient '''[[place de la République]]''' dès [[1794]] et jusqu'en [[1806]]. La place reprendra son nom entre [[1848]] et [[1852]], durant les 4 ans de la Deuxième République. | |||
Poursuivant les évolutions sociales et politiques de la France durant les différentes périodes, elle prend ce nom peu de temps après que la 1ère République est fondée après la Révolution en [[1792]] et se terminera en [[1804]] par la proclamation du Premier Empire de Napoléon. | |||
=== Place d'Austerlitz === | === Place d'Austerlitz === | ||
La place devient '''[[place d'Austerlitz]]''' entre [[1806]] et [[1815]] pour honorer la victoire de la bataille en [[1805]] contre l'empire russe et autrichien. Elle reprendra ce nom entre [[1852]] et [[1874]], au retour du Second Empire (ou de [[1830]] à [[1874]], voir dans notre [[Place Saint Jacques#Histoire|partie Histoire]], donc dès l'instauration de la Monarchie de Juillet et le retour du royaume de France). | |||
Suite à la fin de la République et la proclamation de l'Empire en [[1804]], Napoléon utilise les odonymes pour faire connaître ses grandes victoires guerrières. | |||
== Topographie de la voie == | == Topographie de la voie == | ||
À date d'octobre [[2022]], la place est entièrement piétonne. Dans les années 1940 et 1950, elle était ouverte aux voitures, avec un parking. En [[1973]], des parcmètres apparaissent. En [[1983]] suite à la rénovation de la place, elle devient à moitié piétonne avec une vingtaine de places de parking pour les commerçants <ref>{{Lien web|langue=fr|url=https://c.republicain-lorrain.fr/economie/2021/01/31/metz-quand-la-place-saint-jacques-etait-noyee-sous-les-voitures|auteur=KILLÉ Céline|titre=Quand la place Saint-Jacques était noyée sous les voitures|site=Républicain Lorrain|consulté le=19 mai 2025}}</ref>. Elle devient piétonne en [[1988]]. | |||
[[ | |||
À date d'octobre [[2022]], | === Signalisation === | ||
Un [[Plaques de rue à Metz|panneau de rue]] (en émail bleu et forme carrée, peu commun) se trouve sur le mur à l'angle de la [[/www.wikimetz.fr/Rue de Ladoucette|Rue de Ladoucette]] côté nord et indique « Place St Jacques ». Celui de l'angle sud de cette rue a été arraché à une date inconnue entre [[/www.wikimetz.fr/2014|2014]] et [[/www.wikimetz.fr/2017|2017]]. Les deux autres sont à l'autre extrémité de la place : sur le mur à l'angle sud avec la [[/www.wikimetz.fr/Rue Fabert|rue Fabert]] et sur le mur à l'angle nord de cette rue.[[Fichier:Placesaintjacques plaque.JPG|centré]] | |||
=== Transports en commun === | |||
À date d'octobre [[2022]], aucun arrêt de bus ne se trouve ici. | |||
==Bâtiments et monuments== | ==Bâtiments et monuments== | ||
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==Faits et anecdotes== | ==Faits et anecdotes== | ||
{{Vide}}{{Numéro|numero=2}}En [[1976]], le magasin « VP Ville de Paris » <ref name=":3" />. Le bar « Le View » en [[2018]]. | {{Vide}} | ||
{{Numéro|numero=2}} En [[1906]], un magasin de confection, draperies et vêtements sur mesure <ref name=":6" />. En [[1900]], [[1907]] et [[1976]], le magasin « VP Ville de Paris » <ref name=":3" />, aussi dans les années 50-60 <ref>{{Ouvrage/FAUNostalgie}}</ref>. Brasserie « Le Bev' » en [[2008]] <ref name=":5">{{Ouvrage|langue=fr|titre=[https://metz.fr/mag/pdf/2008/0803.pdf Les restaurants Messins] (sic.)|ville=Metz|edition=Metz Magazine 331|publication=2008|auteur=METZ MAGAZINE}}</ref>. Le bar « Le View » en [[2018]]. | |||
{{Numéro|numero=4}} En [[1976]], le magasin « Profil » <ref name=":3" />. Le bar concept store « Pop White » en [[2018]]. Il ferme en [[2024]]. En [[2025]], « Côté Sushi ». | |||
Au 6 en 1900, un kiosque à journaux tenu par le couple Dubois <ref name=":3" />. | |||
Au 9 en 1905, le grand magasin de chaussures Weiler <ref name=":3" />. Le bâtiment d'inspiration classique est construit en 1902. | |||
En [[ | {{Numéro|numero=10}} En [[1929]], le magasin spécialisé en appareillage médical C. et E. Streisguth <ref name=":3" />. En [[2018]], le lunettier « Optique Lafayette ». | ||
{{Numéro|numero=12}} En [[1908]], la pharmacie du Laurier <ref name=":3" />. En [[2008]], la crêperie et glacier « Diet & Delicious ». | |||
{{Numéro|numero=14}} En [[1908]] la pâtisserie Adolphe Kaiser, qui avait une autre boutique [[Rue Serpenoise]] <ref name=":3" />. En [[2018]], bien qu'ayant changé de propriétaire, la pharmacie qui existait jadis au n°12, est au n°14 sous le nom « Pharmacie Lafayette du Laurier ». On voit cependant une « Pharmacie du Laurier » au 14 en [[1930]] <ref name=":0" group="Note"><small>Voir l'image [https://archives.metz.fr/4DCGI/Web_VoirLaNotice/34_01/3Fi12/ILUMP15734 3Fi12 des archives municipales].</small></ref>. L'enseigne est encore visible sur la façade en [[2008]], à l'époque de la « Pharmacie Lafayette ». | |||
{{Numéro|numero=16}} En [[2008]], le « Café des Arts ». En [[2018]] ou [[2019]], la brasserie spécialisée en pomme de terre « Robe des Champs ». En [[1976]], le magasin de montre et bijou « Duret » <ref name=":3" />. Une horlogerie et bijouterie au début du [[XXe siècle]], avant [[1907]] <ref name=":6">{{Ouvrage/BERMémoire}}</ref>, et en [[1930]] <ref name=":0" group="Note" /> sur la partie gauche. A droite, un vendeur de graines en [[1930]] <ref name=":0" group="Note" /> et la boutique de Chardon au début du [[XXe siècle]], avant [[1907]] <ref name=":6" />. | |||
{{Numéro|numero=18}} Sur l'entrée côté gauche en [[1976]], le vendeur de semences pour le jardin « Watrinet ». Sur l'entrée droite, le pressing « Pierrette Teintnet » <ref name=":3" />. Le restaurant italien « Angelina Caffé » en [[2008]] <ref name=":5" />. | |||
{{ | Au 19, au rez-de-chaussée de l'ancien « grand bâtiment du Kiabi » (voir [[Rue du Petit Paris]]), un accès permettait d'entrer dans le magasin par ce côté. Le local sur deux étages est repris en [[2017]] <ref>{{Lien web|langue=fr|auteur=REPUBLICAIN LORRAIN|url=https://c.republicain-lorrain.fr/edition-de-metz-ville/2017/05/13/commerces-les-ouvertures-et-els-fermetures-a-metz|titre=Commerces : les ouvertures... et les fermetures à Metz|site=republicain-lorrain.fr|consulté le=22 mars 2025}}</ref> et jusqu'en [[2023]] par le restaurant italien « Vapiano ». Le local est abandonné en [[2024]]. Remplacé par le restaurant asiatique « Nigiri Bar » en [[2025]] <ref>{{Lien web|langue=fr|auteur=OGET Ninon|url=https://actu.fr/grand-est/metz_57463/metz-l-ancien-vapiano-a-trouve-un-repreneur-voici-ce-qu-il-va-devenir_62326954.html|titre=Metz. L'ancien Vapiano a trouvé un repreneur : voici ce qu'il va devenir|site=actu.fr|consulté le=22 mars 2025}}</ref>. | ||
{{Numéro|numero=20}}En [[1900]] le restaurant Laurrain <ref name=":3" />. Le « Kangourou Café » en [[2018]]. | {{Numéro|numero=20}} En [[1900]] le restaurant Laurrain <ref name=":3" />. Le « Kangourou Café » en [[2018]]. | ||
{{Numéro|numero=27}} Le restaurant gastronomique « Chez Grégoire » en [[2008]] <ref name=":5" />. | {{Numéro|numero=27}} Le restaurant gastronomique « Chez Grégoire » en [[2008]] <ref name=":5" />. Le salon de thé « Au bon café de la place St-Jacques » en 1929 <ref name=":3" />. | ||
{{Numéro|numero=31}}Le 31 est relié pendant très longtemps au grand magasin de la [[rue du Petit-Paris]], ce qui explique son style architectural différent. | {{Numéro|numero=31}} Le 31 est relié pendant très longtemps au grand magasin de la [[rue du Petit-Paris]], ce qui explique son style architectural différent. | ||
Sur la place côté [[rue Fabert]], on trouve un petit camion de restauration rapide « Steinhoff » dès [[1967]] <ref>{{Lien web|langue=fr|auteur=INCONNU|url=http://sandwichssteinhoff.fr/histoire-steinhoff.html#|titre=Du camion ambulant au 5 points de vente|site=sandwichssteinhoff.fr|consulté le=20 octobre 2024}}</ref> (ici en [[1976]] <ref name=":3" />) qui se transformera en kiosque fixe plus tard. En juin [[2022]], cette institution messine ferme toutes ses enseignes dans la ville sauf ce restaurant <ref>{{Lien web|langue=fr|auteur=DEDOLA Virginie|url=https://www.republicain-lorrain.fr/economie/2022/06/27/on-y-a-cru-jusqu-au-bout-l-enseigne-steinhoff-ferme-quatre-de-ses-restaurants|titre=« On y a cru jusqu’au bout » : l’enseigne Steinhoff ferme quatre de ses restaurants|site=Républicain Lorrain|consulté le=19 octobre 2024}}</ref>. | Sur la place côté [[rue Fabert]], on trouve un petit camion de restauration rapide « Steinhoff » dès [[1967]] <ref>{{Lien web|langue=fr|auteur=INCONNU|url=http://sandwichssteinhoff.fr/histoire-steinhoff.html#|titre=Du camion ambulant au 5 points de vente|site=sandwichssteinhoff.fr|consulté le=20 octobre 2024}}</ref> (ici en [[1976]] <ref name=":3" />) qui se transformera en kiosque fixe plus tard. En juin [[2022]], cette institution messine ferme toutes ses enseignes dans la ville sauf ce restaurant <ref>{{Lien web|langue=fr|auteur=DEDOLA Virginie|url=https://www.republicain-lorrain.fr/economie/2022/06/27/on-y-a-cru-jusqu-au-bout-l-enseigne-steinhoff-ferme-quatre-de-ses-restaurants|titre=« On y a cru jusqu’au bout » : l’enseigne Steinhoff ferme quatre de ses restaurants|site=Républicain Lorrain|consulté le=19 octobre 2024}}</ref>. | ||
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La [[Fontaine Saint Jacques]], érigée avant [[1498]], est déplacée vers le 23 [[rue de Ladoucette]] au début du [[XIXe siècle]]. | La [[Fontaine Saint Jacques]], érigée avant [[1498]], est déplacée vers le 23 [[rue de Ladoucette]] au début du [[XIXe siècle]]. | ||
Au bout de la place aux n° 5/7 [[rue Fabert]], | Au bout de la place aux n° 5/7 [[rue Fabert]], le magasin « Unifix » en [[1933]] <ref name=":3" /> puis Prisunic, et Monoprox jusqu'en juillet [[1979]] <ref>{{Lien web|langue=fr|auteur=THOEN Philippe|url=http://www.shw-woippy.net/pdf/cg9_cinemaB.pdf|titre=Histoire du Cinéma à Metz : “ Du Cinéma au Kinépolis, 1918 - 1999 ”|site=Société d'histoire de Woippy|consulté le=19 octobre 2024}}</ref>. Après plusieurs projets envisagés, le bâtiment devient finalement un cinéma en décembre [[1984]]. La société Rex Cinéma installe le [[Le Palace|Palace]], un grand cinéma de 7 salles pour 1650 places. Il deviendra Palace-Gaumont en septembre [[1988]], puis Gaumont en [[1997]]. Il ferme et rouvre sous le nom « Le Klub » en [[2018]], propriété du groupe Kinépolis. | ||
{{Lire plus|page=Rue Fabert}}{{Lire plus|page=Salles de cinéma à Metz}}A côté, au 11 [[rue Fabert]], il y avait au début du [[XXe siècle]] le bâtiment des denrées coloniales <ref name=":0" />{{,}}<ref name=":6" />. En [[2023]] c'est le restaurant « Pasta Mano ». | {{Lire plus|page=Rue Fabert}}{{Lire plus|page=Salles de cinéma à Metz}}A côté, au 11 [[rue Fabert]], il y avait au début du [[XXe siècle]] le bâtiment des denrées coloniales <ref name=":0" />{{,}}<ref name=":6" />. En [[2023]] c'est le restaurant « Pasta Mano ». | ||
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Tous les 15 août, une procession mariale à lieu près de la colonne de la Vierge pour rappeler le 15 août [[1940]] où des femmes ont déposé au pied de la statue des bouquets de fleurs tricolores avant l'expulsion par l'armée allemande de milliers de Messins et de [[Évêque de Metz|l'évêque]] vers la France occupée. | Tous les 15 août, une procession mariale à lieu près de la colonne de la Vierge pour rappeler le 15 août [[1940]] où des femmes ont déposé au pied de la statue des bouquets de fleurs tricolores avant l'expulsion par l'armée allemande de milliers de Messins et de [[Évêque de Metz|l'évêque]] vers la France occupée. | ||
==Références== | ==Références== | ||
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Article à compléter
Place Saint Jacques
Localisation
Historique
Dénomination actuelle: 1137 puis Conseil municipal du 6 octobre 1919Édifices notables:Statue de Notre-Dame de MetzAnciens noms:place Derrière Saint-Sauveur, place de la Révolution, place de la République, place d'Austerlitz, Jacobsplatz
La place Saint Jacques est une place centrale de Metz qui se situe approximativement sur l'ancien croisement historique de la ville romaine, formé par le decumanus maximus et du cardo maximus. Potentiel forum galloromain, petite placette entourée de bâtiments religieux ensuite, elle s'est agrandie au fil du temps et forme désormais une place principale du commerce et de la restauration messine.
Histoire
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Centre de la cité antique
Située au croisement du decumanus maximus et du cardo maximus sur le plan de ville à l'époque galloromaine, la place semble être construite sur les vestige d'un ancien forum.
Une placette entourée de bâtiments religieux
Au XIe siècle, la place était plus petite de moitié, ne comprenant que l'actuel côté ouest. Au sud-est on trouvait l'église Saint Sauveur construite au IXe siècle, érigée en Collégiale Saint Sauveur au XIe siècle (entre la rue du Petit Paris et la place), et à côté l'église Saint Jacques, construite dans le premier trimestre du XIIe siècle. En 1137 elle est nommée place Saint Jacques, nom qu'on retrouve en 1609 ou 1698 [1]. Dès lors, c'est le nom de place Derrière Saint Sauveur qui est retrouvé dans les textes jusqu'en 1793 [2].
En 1574 [3], l'église Saint Jacques, utilisée par les chanoines après la démolition de l'église Saint Sauveur en 1565, est elle aussi détruite, ce qui permet d'agrandir suffisamment la place pour en faire un lieu de parade militaire. Le cimetière de Saint Jacques est aussi détruit, se trouvant approximativement au centre de la place actuelle. La place est pavée en 1700 et devient une place d'armes en 1730. En 1793 la place devient alors place de la Révolution cette année-là.
Des changements après la Révolution
Suite à la Révolution, comme tous les odonymes religieux, elle change de nom et devient place de la République en 1793 (ou 1794 [2]) puis sous Napoléon, place d'Austerlitz du 18 janvier 1806 à 1815. Elle redevient place Saint Jacques par une décision du conseil municipal de Joseph de Turmel du 1er juillet 1816 puis à nouveau place d'Austerlitz le 8 août 1830 par un arrêté municipal de Jean-Baptiste Charles Bouchotte [3],[1] (ou place de la République en 1848 puis place d'Austerlitz en 1852 [2]), jusqu'en 1874. Elle devient alors allemande de 1874 à 1918 (sous le nom germanisé Jacobsplatz, littéralement place Jacques) et reprend enfin son nom d'origine le 6 octobre 1919. Elle ne changera de nom que durant la Seconde Guerre mondiale pour redevenir Jacobsplatz.
Le 6 octobre 1775, un dôme soutenu par 4 colonnes d'ordre corinthien est posé au milieu de la place. Il est démonté à une date inconnue.
L'expansion de la halle aux légumes
En 1832, une halle aux légumes est construite sur la place, à l'emplacement de l'ancien cimetière de l'église (les fouilles permettent de trouver des cercueils en pierre de Jaumont, mais aussi des pierres d'origine romaine pouvant dater de la première église Saint Sauveur d'avant IXe siècle) sur les plans de Gérard Victor Vandernoot. L'installation nécessite de déplacer la Fontaine Saint Jacques [4]. Elle ouvre le 1er janvier 1833.
Au XIXe siècle, le grand marché de la place était séparé en deux par une allée couverte en zinc de 1878 mètres carrés faisant toute la longueur au centre, avec la présence de plusieurs bornes fontaines [3]. La halle, malfamée et vétuste, est détruite le 11 décembre 1907 [Note 1],[1]. On procède à des travaux de nivellement en 1908. Au centre de la place, à l'emplacement de l'ancien dôme est érigée la colonne de la Vierge protectrice ou Colonne de la Vierge Notre-Dame de Metz, le 15 août 1924.
En 1941, une ruelle couverte est projetée pour relier la rue du Petit Paris à la place, mais le projet n'aboutira pas. Un peu plus tôt en 1842 [Note 2], un autre projet de percement de rue devait permettre de relier la place à la rue Cour de Ranzières depuis le 20/22 rue de Ladoucette.
La place à l'époque moderne
Malgré la disparition du marché au profit du marché couvert, un marché se tient toujours trois fois par semaine au moins jusque dans les années 1970 [5].
Origine des dénominations
Place Saint Jacques, Jacobzplatz
La place prend le nom de Saint Jacques de 1137 à 1698 du fait de la présence de l'église Saint Jacques construite dans le premier trimestre du XIIe siècle. Après la désacralisation des odonymes lors de la Révolution, elle redevient place Saint Jacques par une décision du conseil municipal de Joseph de Turmel du 1er juillet 1816 et jusqu'en 1848 (ou 1830, voir dans notre partie Histoire) puis dès 1919. Le nom est confirmé lors de la Commission municipale du 6 octobre 1919 [Note 3].
Sous l'annexion allemande, elle deviendra Jacobsplatz (soit Place Jacques) de 1874 à 1918 et de 1940 à 1944.
Jacques, fils de Zébédée, dit Saint Jacques, est l'un des douze apôtres de Jésus dans l'Évangile du Nouveau Testament. Un pèlerinage catholique en direction du tombeau situé à la cathédrale de Saint-Jacques-de-Compostelle en Espagne passe notamment par Metz.
Place Derrière Saint Sauveur
De 1698 à 1773 voire 1793 [2], elle prend le nom (peut-être alternativement avec la place Saint Jacques) de place Derrière Saint Sauveur.
Nom du fait de la présence de la Collégiale Saint Sauveur et de l'église du même nom sur l'emprise de la place actuelle, fondée au IXe siècle.
Place de la Révolution
La place est renommée en place de la Révolution en 1793.
Lors de la Révolution, les noms et influences religieuses sont supprimés de la ville. Son nom met à l'honneur la chute de la monarchie un an plus tôt.
Place de la République
La place change à nouveau de nom et devient place de la République dès 1794 et jusqu'en 1806. La place reprendra son nom entre 1848 et 1852, durant les 4 ans de la Deuxième République.
Poursuivant les évolutions sociales et politiques de la France durant les différentes périodes, elle prend ce nom peu de temps après que la 1ère République est fondée après la Révolution en 1792 et se terminera en 1804 par la proclamation du Premier Empire de Napoléon.
Place d'Austerlitz
La place devient place d'Austerlitz entre 1806 et 1815 pour honorer la victoire de la bataille en 1805 contre l'empire russe et autrichien. Elle reprendra ce nom entre 1852 et 1874, au retour du Second Empire (ou de 1830 à 1874, voir dans notre partie Histoire, donc dès l'instauration de la Monarchie de Juillet et le retour du royaume de France).
Suite à la fin de la République et la proclamation de l'Empire en 1804, Napoléon utilise les odonymes pour faire connaître ses grandes victoires guerrières.
Topographie de la voie
À date d'octobre 2022, la place est entièrement piétonne. Dans les années 1940 et 1950, elle était ouverte aux voitures, avec un parking. En 1973, des parcmètres apparaissent. En 1983 suite à la rénovation de la place, elle devient à moitié piétonne avec une vingtaine de places de parking pour les commerçants [6]. Elle devient piétonne en 1988.
Signalisation
Un panneau de rue (en émail bleu et forme carrée, peu commun) se trouve sur le mur à l'angle de la Rue de Ladoucette côté nord et indique « Place St Jacques ». Celui de l'angle sud de cette rue a été arraché à une date inconnue entre 2014 et 2017. Les deux autres sont à l'autre extrémité de la place : sur le mur à l'angle sud avec la rue Fabert et sur le mur à l'angle nord de cette rue.
Transports en commun
À date d'octobre 2022, aucun arrêt de bus ne se trouve ici.
Bâtiments et monuments
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Statue de Notre-Dame de Metz
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La colonne de la Vierge protectrice ou Colonne de la Vierge Notre-Dame de Metz, construite par Jacques Martin, a été installée le 15 août 1924 par Mgr Jean-Baptiste Pelt, selon le souhait de l'évêque Monseigneur Willibrord Benzler [7] durant la Première Guerre mondiale. Ce dernier avait fait le vœu d'ériger l'édifice en 1917 si Metz était épargnée par les bombes. Le sculpteur obtient pour la statue la médaille de bronze 1925 au Salon des artistes français à Paris.
Faits et anecdotes
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2 En 1906, un magasin de confection, draperies et vêtements sur mesure [8]. En 1900, 1907 et 1976, le magasin « VP Ville de Paris » [5], aussi dans les années 50-60 [9]. Brasserie « Le Bev' » en 2008 [10]. Le bar « Le View » en 2018.
4 En 1976, le magasin « Profil » [5]. Le bar concept store « Pop White » en 2018. Il ferme en 2024. En 2025, « Côté Sushi ».
Au 6 en 1900, un kiosque à journaux tenu par le couple Dubois [5].
Au 9 en 1905, le grand magasin de chaussures Weiler [5]. Le bâtiment d'inspiration classique est construit en 1902.
10 En 1929, le magasin spécialisé en appareillage médical C. et E. Streisguth [5]. En 2018, le lunettier « Optique Lafayette ».
12 En 1908, la pharmacie du Laurier [5]. En 2008, la crêperie et glacier « Diet & Delicious ».
14 En 1908 la pâtisserie Adolphe Kaiser, qui avait une autre boutique Rue Serpenoise [5]. En 2018, bien qu'ayant changé de propriétaire, la pharmacie qui existait jadis au n°12, est au n°14 sous le nom « Pharmacie Lafayette du Laurier ». On voit cependant une « Pharmacie du Laurier » au 14 en 1930 [Note 4]. L'enseigne est encore visible sur la façade en 2008, à l'époque de la « Pharmacie Lafayette ».
16 En 2008, le « Café des Arts ». En 2018 ou 2019, la brasserie spécialisée en pomme de terre « Robe des Champs ». En 1976, le magasin de montre et bijou « Duret » [5]. Une horlogerie et bijouterie au début du XXe siècle, avant 1907 [8], et en 1930 [Note 4] sur la partie gauche. A droite, un vendeur de graines en 1930 [Note 4] et la boutique de Chardon au début du XXe siècle, avant 1907 [8].
18 Sur l'entrée côté gauche en 1976, le vendeur de semences pour le jardin « Watrinet ». Sur l'entrée droite, le pressing « Pierrette Teintnet » [5]. Le restaurant italien « Angelina Caffé » en 2008 [10].
Au 19, au rez-de-chaussée de l'ancien « grand bâtiment du Kiabi » (voir Rue du Petit Paris), un accès permettait d'entrer dans le magasin par ce côté. Le local sur deux étages est repris en 2017 [11] et jusqu'en 2023 par le restaurant italien « Vapiano ». Le local est abandonné en 2024. Remplacé par le restaurant asiatique « Nigiri Bar » en 2025 [12].
20 En 1900 le restaurant Laurrain [5]. Le « Kangourou Café » en 2018.
27 Le restaurant gastronomique « Chez Grégoire » en 2008 [10]. Le salon de thé « Au bon café de la place St-Jacques » en 1929 [5].
31 Le 31 est relié pendant très longtemps au grand magasin de la rue du Petit-Paris, ce qui explique son style architectural différent.
Sur la place côté rue Fabert, on trouve un petit camion de restauration rapide « Steinhoff » dès 1967 [13] (ici en 1976 [5]) qui se transformera en kiosque fixe plus tard. En juin 2022, cette institution messine ferme toutes ses enseignes dans la ville sauf ce restaurant [14].
La Fontaine Saint Jacques, érigée avant 1498, est déplacée vers le 23 rue de Ladoucette au début du XIXe siècle.
Au bout de la place aux n° 5/7 rue Fabert, le magasin « Unifix » en 1933 [5] puis Prisunic, et Monoprox jusqu'en juillet 1979 [15]. Après plusieurs projets envisagés, le bâtiment devient finalement un cinéma en décembre 1984. La société Rex Cinéma installe le Palace, un grand cinéma de 7 salles pour 1650 places. Il deviendra Palace-Gaumont en septembre 1988, puis Gaumont en 1997. Il ferme et rouvre sous le nom « Le Klub » en 2018, propriété du groupe Kinépolis.
Article détaillé : Rue Fabert
Article détaillé : Salles de cinéma à Metz
A côté, au 11 rue Fabert, il y avait au début du XXe siècle le bâtiment des denrées coloniales [7],[8]. En 2023 c'est le restaurant « Pasta Mano ».
Article détaillé : Rue Fabert
Au 20/22 de la rue Ladoucette, au rez-de-chaussée, la vitrine de droite accueille le « Cyrano Bar » en 1970 [5] et l'accès à gauche permet d'aller à l'arrière du bâtiment. Lors de la construction du centre Saint-Jacques, cet étage est détruit pour créer une large d'ouverture qui permet d'accès à la halle marchande. Le fronton ouvragé en pierre est conservé. A une date inconnue entre 2014 et 2017, une grande signalétique « Saint-Jacques » y est ajoutée.
Article détaillé : Rue de Ladoucette
Tous les 15 août, une procession mariale à lieu près de la colonne de la Vierge pour rappeler le 15 août 1940 où des femmes ont déposé au pied de la statue des bouquets de fleurs tricolores avant l'expulsion par l'armée allemande de milliers de Messins et de l'évêque vers la France occupée.
Références
- ↑ 1,0 1,1 et 1,2 (fr) TEXIER Fabienne, Metz, il y a 100 ans en cartes postales anciennes, Prahecq : Editions Patrimoines et médias, 2010 (ISBN 978-2-916757-51-3)
- ↑ 2,0 2,1 2,2 et 2,3 (fr) WAGNER Sébastien, Dictionnaire historique des rues de Metz, Metz : Editions Serpenoise, 2009 (ISBN 978-2876927919)
- ↑ 3,0 3,1 et 3,2 (fr) BERRAR Jean-Claude, C'était Metz, Strasbourg : Editions du Quotidien, 2015 (ISBN 978-2371640351)
- ↑ (fr) REPUBLICAIN LORRAIN, « Savez-vous quel monument d’agrément se trouvait autrefois sur la place Saint-Jacques ? » sur republicain-lorrain.fr (consulté le 16 septembre 2024)
- ↑ 5,00 5,01 5,02 5,03 5,04 5,05 5,06 5,07 5,08 5,09 5,10 5,11 5,12 5,13 et 5,14 (fr) BUCCIARELLI Maxime, Metz, un siècle de commerces, Vaux : Serge Domini Editeur, 2007 (ISBN 978-2-912645-98-2)
- ↑ (fr) KILLÉ Céline, « Quand la place Saint-Jacques était noyée sous les voitures » sur Républicain Lorrain (consulté le 19 mai 2025)
- ↑ 7,0 et 7,1 (fr) BASTIEN René, BECKER Albin, Metz mémoire, Saint-Étienne : Edi Loire, 1996 (ISBN 2-84084-041-3)
- ↑ 8,0 8,1 8,2 et 8,3 (fr) BERRAR Jean-Claude, Memoire En Images : Metz Tome I, Saint-Cyr-sur-Loire : Editions Alan Sutton, 1996 (ISBN 2-84253-028-4)
- ↑ (fr) FAUVEL Christian, STEINMETZ Emmanuel, Metz Nostalgie 1945 - 1975, Metz : Editions des Paraiges, 2018 (ISBN 978-2-37535-088-1)
- ↑ 10,0 10,1 et 10,2 (fr) METZ MAGAZINE, Les restaurants Messins (sic.), Metz : Metz Magazine 331, 2008 (ISBN n/c)
- ↑ (fr) REPUBLICAIN LORRAIN, « Commerces : les ouvertures... et les fermetures à Metz » sur republicain-lorrain.fr (consulté le 22 mars 2025)
- ↑ (fr) OGET Ninon, « Metz. L'ancien Vapiano a trouvé un repreneur : voici ce qu'il va devenir » sur actu.fr (consulté le 22 mars 2025)
- ↑ (fr) INCONNU, « Du camion ambulant au 5 points de vente » sur sandwichssteinhoff.fr (consulté le 20 octobre 2024)
- ↑ (fr) DEDOLA Virginie, « « On y a cru jusqu’au bout » : l’enseigne Steinhoff ferme quatre de ses restaurants » sur Républicain Lorrain (consulté le 19 octobre 2024)
- ↑ (fr) THOEN Philippe, « Histoire du Cinéma à Metz : “ Du Cinéma au Kinépolis, 1918 - 1999 ” » sur Société d'histoire de Woippy (consulté le 19 octobre 2024)
Notes
- ↑ Voir l'image 2Fi863 des Archives municipales.
- ↑ Voir le cadastre de 1842.
- ↑ Voir les archives des délibérations du conseil municipal en 1919 sur les Archives municipales.
- ↑ 4,0 4,1 et 4,2 Voir l'image 3Fi12 des archives municipales.
Bibliographie
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WikiMetz : Encyclopédie sur l'Histoire de Metz
